lundi 3 novembre 2008

Les outils géographiques pour penser la guerre, penser la paix

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Dimanche 5 octobre, 9 h à 10 h – INSIC, amphithéâtre

« Les outils géographiques pour penser la guerre, penser la paix » Paul Claval

Paul Claval a commencé sa conférence en disant qu’il essayait de s’interroger sur la manière dont les gens pensent. Il a que dès le début il y a deux conceptions différentes de la paix. Il y a la « paix de dieux », cela comprend l’idée de la paix universelle. Il y a aussi la paix à l’échelle d’une seigneurie. La paix à l’échelle d’une seigneurie est une paix apparaissant comme quelque chose de petite dimension. Ensuite avec le temps, la paix se définit par l’absence de violence physique. Pourtant, à cette époque on ne prend pas encore en compte la violence domestique, la violence écologique, la violence symbolique ou le harcèlement. Paul Claval dit que pour comprendre notre monde il faut qu’on se demande pourquoi on pense que la paix pourrait exister à l’échelle du monde. La prochaine partie de la conférence portait sur le déclin de la féodalité. Paul Claval a précisé que le déclin de la féodalité est lié au développement des armes de guerre et des techniques de guerre.

Ensuite on voit arriver l’idée de la souveraineté. Pour illustrer l’idée de la souveraineté il a fait allusion au philosophe Hobbes. Hobbes pensait que dans l’état de nature l’homme est un loup pour l’homme et que cela deviendra intolérable pour la société. Donc dans la philosophie de Hobbes les hommes renoncent leur liberté et la donne à l’état. Ceci constitue la théorie de la paix civile. La paix civile c’est quand à l’intérieur de l’état, l’homme est défendu par les pouvoirs publiques. Donc avec le déclin de la souveraineté des nouveaux modes d’organisation sociale se développent. Cela fait passer les valeurs guerrières de la société à des valeurs bourgeoises. Cela assure donc la paix à l’intérieur d’un état mais l’était peut toujours être menacé de l’extérieur. Cela s’appelle un état Westphalien, un état Westphalien est un état où il y a le droit de conquête et où les valeurs guerrières subsistent. Alors, dans cette situation, il y a une zone de paix (à l’intérieur d’un état) et une zone de conflits frontaliers (à l’extérieur). Cela est complètement logique qu’un souverain profite des faiblesses de l’autre pour étendre leur territoire. L’état mercantiliste est ensuite né de ces valeurs guerrières. Prochainement on voit apparaître la modernisation de la guerre. La guerre est de plus en plus liée à l’économie, car il faut bien trouver les moyens pour financer une guerre.

Paul Claval a ensuite parlé du mouvement de l’état de droit divin à l’état nation. Dans un état de droit divin l’état est reçu en délégation de dieu et le droit du souverain vient directement de dieu. Le passage de l’état de droit divin à l’état nation pose quelques problèmes parce-que l’état absolu pouvait s’étendre, mais l’état nation doit se limiter au frontières nationales. Cette transformation a aussi des conséquences sur le plan social et provoque l’affirmation de la société bourgeoise qui devient démocratique. Il y a aussi des conséquences sur le plan économique, comme le souverain n’est plus absolu il a beaucoup moins de droits qu’au 17 ème et 18 ème siècle. Mais il a aussi plus de moyens et de possibilités. Il y a aussi des conséquences sur le plan international. Comme cette société est libérale le premier droit essentiel est de pouvoir se déplacer à sa guise et le deuxième c’est le droit d’être jugé par des tribunaux digne de ce nom. Donc, cela a forcément des conséquences importantes sur les relations internationales. Mais, il faut se rappeler que les états ne sont pas toujours capables d’assurer la sécurité de leurs citoyens à l’étranger.

La prochaine partie de sa conférence était consacrée à l’ordre international et l’idée de la paix perpétuelle. Paul Claval nous explique que la paix perpétuelle est une idée nouvelle, on se dit qu’on devrait peut-être essayer d’établir une paix universelle. Pour faire cela il faut petit à petit limiter le pouvoir des états en introduisant des instances internationales (l’ex SDN, l’ONU, l’UE etc.).

Ensuite il a parlé de la critique des hypocrisies de la paix civile. Il dit que certains mettent l’accent sur la violence économique (par rapport aux travailleurs), la violence symbolique (à propos des minorités) où la violence psychologique. Il dit aussi qu’il y a une remise en cause de la paix civile. Il y a une remise en cause de classes, de la nation, de la démocratie bourgeoise. Cela explique le développement de la théorie de l’anarchisme.

Puis il a parlé de la guerre et le modèle Westphalien au 20ième siècle. Il y a une évolution du contexte international, c’est l’âge des conflits mondiaux. La guerre est maintenant quelque chose qui peut devenir universelle. Avec la révolution industrielle on est capable de construire une armée nationale et les américains développent en premier la bombe atomique. Il y a donc un changement de la dimension géographique de la guerre, on ne peut plus penser de la guerre de la même manière. La guerre est maintenant capable de menacer toute la planète.

Ensuite il a parlé de la paix et la coopération internationale au 20ième siècle. Comme exemples il a parlé de l’esprit de Genève et les géopolitiques de paix entre les deux guerres, l’ONU avec la décolonisation et l’universalisation de l’état nation et la dictature de l’opinion internationale et les droits de l’homme.

J’ai bien aimé cette conférence car elle m’a permis de mieux comprendre l’évolution de la guerre et de la paix dans le temps. Aussi je pense que Paul Claval a très bien parlé, je le trouvais très intéressant. Malheureusement j’ai loupé la conclusion parce-que j’ai du partir dix minutes plus tôt pour pouvoir assister à la conférence sur Toyota.

Lucie Gallagher.

Le Japon est-il fini ?

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Vendredi 3 octobre, 9h – espace Georges-Sadoul, salle Yvan-Goll

Conférence introductive « Le Japon est-il fini ? » Philippe Pelletier.

Philippe Pelletier a commencé en disant qu’il aller essayer de nous expliquer quelle place le Japon pouvait avoir en Asie et dans le monde qui évolue tellement. Il nous à dit qu’on ferait face à quelques difficultés de compréhension en ce qui concerne le Japon. Premièrement il a expliqué que ce n’était pas toujours facile d’attirer l’attention sur un pays aussi lointain et que c’était difficile de parfois devoir expliquer des choses difficilement compréhensibles. De plus en parlant du Japon il faut toujours faire recours à l’histoire du Japon. Troisièmement, c’est très facile de se faire une image fausse du Japon. En expliquant ce problème il a parlé d’Amélie Nothomb et qu’on pouvait parfois être déçu de l’image qu’elle nous donne du Japon.

Philippe Pelletier ne pense pas que la puissance japonaise est une puissance finie. Il nous a dit que le Japon est la deuxième puissance économique au monde et que le Japon a une réserve monétaire très importante. De plus le Japon a une balance de paiements positive et une balance commerciale excellente. Aussi, le Japon faits beaucoup d’échanges économiques. Les échanges avec la Chine et la plupart de l’Asie orientale deviennent très importants. Les principaux partenaires du Japon sont la Chine, la Corée et les Etats-Unis. Philippe Pelletier nous a expliqué que la balance commerciale japonaise est à l’avantage du Japon. Le Japon est un grand pays exportateur, les exports sont souvent destinés à l’Europe, aux Etats-Unis ou à des paradis fiscaux.

Philippe Pelletier nous a dit que malgré tous, c’est vrai que ces flux tendent un peu à se tasser. Mais il a fortement insisté sur le fait que la puissance Japonaise est loin d’être terminée. Cela est mit en évidence quand on voit qu’il y a des éléments culturels du Japon connus dans le monde entier. Il est clair que la culture Japonaise a eu un impact dans l’ensemble du monde et elle a été très bien reçue.

Ensuite Philippe Pelletier a parlé de la finitude spatiale, c’est-à-dire la densité démographique. En général le territoire Japonais n’est pas très peuplé, 49,7% du territoire est classé en zone dépeuplée. Le vieillissement de la population a fortement accéléré ce dépeuplement. Un quart de la population a plus de 65 ans. Le peuplement est très contrasté entre la mégapole et la périphérie. Aussi il y a un manque d’espace au Japon, seul 28% du territoire est considéré comme étant techniquement constructible et il y a très peu d’espace agricole. Pourtant, le Japon est un grand pays de façon globale car l’espace maritime du Japon multiplie la surface du pays par 12. Cela explique pourquoi les produits marins sont à la base de l’alimentation Japonaise (malgré l’occidentisation des habitudes alimentaires). C’est principalement pour cette raison que l’espérance de vie est importante au Japon.

Le conférencier a passé un peu de temps pour nous parler de la ville de Kôbe. La ville de Kôbe doit son développement à l’ouverture du Japon car les ports on étés construits, dans un premiers temps, loin de la population japonaise parce-que on croyait que si la population japonaise ne se mélangeait pas avec l’extérieur on pouvait éviter les problèmes. La ville de Kôbe c’est étendue et à gagné sur la mer. Donc si on voit une photographie de la ville de Kôbe ça nous donne l’idée (fausse) d’un Japon entassé et surpeuplé. Il a aussi parlé de la ville de Nagasaki qui est le point d’échange avec l’extérieur et de la ville de Tokyo qui a gagné sur la baie. Ce que j’ai compris c’est qu’au Japon il y a une très étroite bande littorale assez peuplé mais à l’intérieur du pays il y a aussi beaucoup de vastes plaines où il y a très peu de monde.

Philippe Pelletier a expliqué que le Japon est un pays qui manque de matières premières, le Japon n’a pas de pétrole. Mais n’a pas empêché se puissance. Le Japon a beaucoup d’eau, qu’il peu utiliser pour l’agriculture et l’hydroélectricité. Beaucoup des habitats japonais utilisent du bois et on voit qu’en ce moment c’est la crise dans les forêts japonaises parce-que ça devient de plus en plus difficile pour trouver du bois. Les minerais sont importants au Japon, notamment l’or et l’argent. Pendant les années 60 la production de charbon au Japon était aussi importante qu’en France. Philipe Pelletier a aussi dit que la géologie du Japon est tourmenté ce qui rends le pays peu fiable économiquement.

Ensuite Philippe Pelletier s’est demandé si le modèle Japonais était fini. Il a expliqué qu’à l’origine le Japon devait être un modèle pour les pays qui auraient été tentés par le communisme. On essaye de promouvoir le Japon comme étant un système alternatif aux pays comme la Chine et la Russie. Selon Philipe Pelletier le Japon était en quelques sortes un pays « miracle ». Parmi les acquis, le Japon avait un taux de scolarisation très élevé et la transition démographique est assurée dès 1920.

Le Japon est un pays particulier parce-que il s’est développé une société homogène. La société Japonaises est sans classes, 85% de la société se considère comme appartenant à la classe moyenne. Dans le modèle japonais il y a plus ou moins égalité des revenues donc on se dit que les japonais sont peut-être porteurs d’une utopie. Mais, comme Philipe Pelletier nous a indiqué, ce modèle se fragmente depuis une dizaine d’années. Maintenant le Japon se trouve plutôt du côté des pays inégalitaires. De plus on a observé une importante précarisation du travail et de l’emploi au Japon dans les dernières années. Il y a maintenant de plus en plus de sans domiciles fixes (SDF) au Japon. Les SDF se trouvent essentiellement dans les mégapoles. Les nouveaux pauvres s’installent aussi dans la ville basse mais aussi un peu partout dans les mégapoles et dans les banlieues éloignés. On observe aussi des regroupements de tentes le longs des cours d’eau dans les banlieues.

Pour continuer, Philippe Pelletier a abordé la question d’une identité uniforme au Japon. Il a parlé d’un élément nouveau qui est l’essor de l’immigration de travail au Japon. Cette immigration répondait au besoin de main d’œuvre pas chère et peu qualifiée. On voit donc s’installer beaucoup de coréens à l’ouest du Japon et de nombreux coréens, chinois, pilipino, brésiliens et péruviens s’installe à Tokyo et dans les cités industrielles. Cette immigration crée une rupture, notamment entre les Japonais et les immigrés coréens. La vie au Japon pour les descendants des coréens n’était pas facile. Pendant des années ils étaient discriminés – donc ils se sont lancés dans le travail au noir. C’était des coréens qui contrôlaient le marché noir au Japon dans les années 40-50. Mais, petit à petit les choses changent. Les coréens sont de plus en plus intégrés dans la société japonaise. Beaucoup des stars japonaises n’hésitent pas à affirmer leurs racines coréennes.

Donc, pour conclure le Japon n’est pas fini mais le « modèle japonais » l’est. La fin du modèle japonais est due à plusieurs éléments. Premièrement il y a l’insertion du Japon dans la mondialisation (le japon joue un rôle passif et actif) de plus l’économie japonaise reste moins internationalisée. Mais principalement le modèle Japon n’existe plus parce-que la nécessité du modèle n’existe plus avec le recule de l’idéologie communiste.

J’ai beaucoup aimé cette conférence et je pense que c’était une bonne conférence « introductrice » sur le Japon. Je pense que Philip Pelletier parlait très bien et c’était clair qu’il aimé son sujet. C’était dommage qu’il y ait quelques problèmes techniques au début car ça a un peu perturbé l’organisation de sa présentation. Mais cela ne m’a pas trop dérangée parce-que j’ai trouvé le sujet très intéressant et la façon dont il parlait a gardé mon attention.

Lucie Gallagher.

La géographie d’un art martial : le karaté

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Jeudi 2 octobre, 18 h 15 à 19 h 15 – Lycée Jules-Ferry, amphithéâtre

« La géographie d’un art martial : le karaté » par Jean-Claude Schillot.

Jean-Claude Schillot a commencé par nous rappeler que l’année 2007 marquait le 159ème anniversaire des relations franco-japonaises. Le conférencier est un professeur du karaté, il nous a dit que l’origine du karaté est lié avec l’Inde, la Chine, le Japon, l’île Okinawa et de nombreux événements historiques.

Il a commencé sa conférence par quelques événements historiques. L’année 1665 est une année très importante pour l’histoire du Japon. Le dirigeant du Japon à l’époque décide en 1665 de fermer le Japon. Il fait cela parce-que de nombreux missionnaires viennent pour essayer de répandre la religion catholique dans son pays et il estime que cela est dangereux pour son pays et la culture du Japon. Donc, dès 1665 le Japon est complètement fermé sauf quelques exceptions. Une île hollandaise au large de Nagasaki garde ses relations avec le Japon, essentiellement pour le commerce d’exportation du Japon. Une autre île, Okinawa garde ses relations avec le Japon pour le commerce avec la Chine et la Corée. Cette fermeture a de nombreuses conséquences sur le Japon et le développement du pays. On voit développer grâce de cette fermeture une très importante unité nationale. Cette fermeture a aussi des effets sur l’économie du pays et le développent artistique. A cause de cette fermeture on voit apparaître un très grand retard scientifique et industriel. Cela fait qu’il y a aucune évolution sociale.

En 1853 les Américains veulent mettre en place des bases pour des développer la chasse de baleines donc ils lancent un ultimatum au Japon. Le Shogun cède. Le 3 janvier 1868 il y a un coup d’état dans le pays qui redonne le pouvoir à l’empereur. Il utilise ensuite cette ouverture « forcé » pour devenir une grande puissance mondiale. Pour faire cela il envoi des chercheurs, de militaires et des étudiants en occident pour récupérer le retard du Japon. De 1894 à 1895 il y a la première guerre entre la Chine et le Japon, le Japon en sort vainqueur. Puis en 1905 le Japon gagne la guerre Russo-japonaise. Le Japon est donc devenu une puissance capable de diriger toute cette partie de l’Asie.

Les arts-martiaux sont généralement issus de vieux maitres qui on observés et vus des animaux se battre et qui on ensuite reproduit leurs mouvements. Il est donc très difficile de dire que le karaté est issu d’une personne. Le karaté doit beaucoup à l’Inde. Avec l’ouverture de la route de la soie, l’occident, l’Inde et la Chine on pu avoir des échanges commerciaux et religieux (influence bouddhiste).

Le karaté doit aussi beaucoup à la Chine, car un autre élément important dans l’histoire des arts-martiaux est le temple Shaolin construit et rénové par l’empereur Hsiao-Wen. On dit que le Kung-fu tire ses origines de ce temple. On dit qu’il y a un personnage mythique qui s’appelait Bodhidharma et qui était un moine indien. Apparemment il avait eu accès à la technique des arts martiaux (qui existe en Inde depuis 2000 BC) et il est venu enseigner ces arts dans le temple Shaolin. Ici il introduit le vajramushti et le yoga et il developpe la notion du wu dao. Jean-Claude Schillot nous a ensuite dit que le principe des arts martiaux est la démarche psychologique, le bien être et le respect des autres. En 1768 le monastère est détruit, les moines sont donc dispersés ce qui permet leur enseignement de se répandre dans toute la Chine.

Jean-Claude Schillot a ensuite parlé d’Okinawa qui est une île au sud du Japon. Cette île est une île un peu particulière car elle consiste de trois royaumes et de trois rois qui « passent leurs temps à se faire la guerre ». Un de ces royaumes repose sur la Chine, donc de nombreux échanges se font entre la Chine et ce royaume. En 1429 les trois royaumes sont finalement réunis et l’île d’Okinawa continue d’avoir des rapports avec la Chine. Beaucoup de chinois s’installent à Okinawa et ils apportent la connaissance des arts martiaux à la petite aristocratie de l’île. En 1509 le roi d’Okinawa interdit le port d’armes sur l’île. Un esprit de résistance se forme donc en réponse à l’interdiction d’armes on développe d’autres formes de combat (on apprend à se défendre avec les mains et les pieds). Puis en 1609 le clan Satsuma prend pouvoir. Pendant la fermeture du Japon cette île garde des échanges avec la Chine. Satsuma décrète encore une fois l’interdiction d’armes. Ensuite l’île devient une préfecture japonaise et tous les arts martiaux sont interdits alors on les pratiques pendant la nuit.

Après ce qu’a dit Jean-Claude Schillot, un homme qui s’appelle Funakoshi (1868-1957) est le fondateur du karaté moderne. Cet homme vient d’Okinawa. Pour commencer Funakoshi veut devenir médecin, mais il finit par devenir assistant d’éducation nationale. Cet homme a pratiqué beaucoup de karaté tout au long de sa vie et continue de s’entrainer tous les soirs – il devient très vite un très bon pratiquant. En 1922 il fait la première démonstration publique du karaté. Même que s’est un sport qui est interdit, on se dit que les qualités du karaté pourraient servir en cas de guerre. C’est sur lui que repose donc la possibilité du karaté de devenir un art national. Il est prêt à s’investir pour développer le karaté. Il décide donc de se consacrer pleinement au karaté - à cette époque il a déjà 53 ans, il est très pauvre et a très peu d’élèves. Mais petit à petit la réputation du karaté va s’agrandir. Le karaté devient un « art » grâce à Funakoshi.

En 1923 il y a un tremblement de terre à Tokyo et Funakoshi perds beaucoup d’élèves. De 1940 à 1945 il perd la majorité de ses élèves à cause de la guerre. Funakoshi a maintenant plus ou moins 80 ans mais il va continuer à enseigner le karaté. Il enseignera même l karaté dans des bases américaines.

Le karaté est aujourd’hui mondialement connu. Il y a des différents styles de karaté, ils sont issus de les différentes variantes du style que ses élèves on crée. Donc, pour terminer, le karaté est un sport qui doit beaucoup à l’Inde, la Chine, la fermeture du Japon et Funakoshi.

Cette conférence m’a plu et j’ai trouvé le sujet très intéressant. J’ai parfois eu du mal à suivre mais sinon je pense que la conférence était très bien préparé. Le conférencier n’était pas habitué à faire des conférences car c’était en fait un professeur de karaté, mais je pense que cela était une bonne chose car il savait vraiment de quoi il parlait.

Lucie Gallagher

La Russie un espace en recomposition

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Samedi 4 octobre, 18 h à 19 h – Lycée Jules-Ferry, amphithéâtre

Parcours Pédagogique. « La Russie un espace en recomposition » Jacqueline Jalta, Anick Mellina, Pascal Marchand, Laure Flavigny.

Les pays baltes sont les voisins immédiats de la Russie. Il y a des contentieux territoriaux et des minorités Russes. Il y a des problèmes entre les pays baltes et la Russie, notamment en ce qui concerne les voies (routes) commerciales. Pour la Russie, il est hors de question que les ports baltes passent sous le contrôle de l’OTAN. Don les Russes ont construit un arsenal portuaire près de St Pétersbourg. Le conférencier nous a dit que la plupart du temps on ne se rend pas compte de l’origine des problèmes entre la Russie et les pays baltes. Pourtant, le Russie n’a pas de conflits directs avec la Finlande.

Ensuite il a parlé du problème de l’Ukraine. Certains pays militent aujourd’hui qu’on intègre l’Ukraine dans l’OTAN. A l’est de l’Ukraine on trouve une forte concentration de Russes. 14-25% de la population sont actuellement Russes et beaucoup de gens ont le Russes comme langue maternelle. Pourtant, les gens ont plutôt tendance à se déclarer Ukrainiens. 71% des Ukrainiens pensent que leur pays ne doit pas rentre dans l’OTAN parce-que ils savent très bien que ça provoquera des conflits avec la Russie.

Le conférencier à aussi parlé de l’intégration de la Géorgie a l’OTAN. Il a dit que si Géorgie rentre fait partie de l’OTAN l’ensemble de la situation va se dégrader. Ensuite il a parlé des intérêts exportateurs de la Russie, la Russie est un grand pays producteur. La Russie, selon lui, a une grande puissance dans l’extrême orient. La Corée, le Japon et la Chine sont tous de grands pays consommateurs d’énergie. Don la Russie organise des projets (construction d’oléoducs) pour répondre aux besoins de ses futurs clients. Cela est un peu inquiétant parce-que la Russie ne manque pas de clients, ce qui veut dire que nous n’aurons pas beaucoup d’influence sur la Russie parce qu’elle ne dépend pas de nous. De plus, avec la découverte de ressources pétrolières en arctique la Russie est encore plus puissante.

Pour conclure le conférencier a dit qu’il ne faut absolument ne pas oublier qu’à nos côtes on a une puissance qui a des intérêts et surtout qui a les moyens de les faire passer.

Malheureusement cet conférence était aussi un parcours pédagogique ce qui m’a pas trop plu. J’avais l’impression qu’il y avait que des professeurs dans la salle donc le conférencier a parlé très vite sans beaucoup expliquer. C’était donc difficile pour moi de tout suivre. De plus c’était la fin d’une très longue journée alors j’étais un peu fatiguée. Mais, j’ai quand même trouvée le sujet très intéressant.

Lucie Gallagher.

Prolifération nucléaire, Iran et pays émergents

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L’Iran demande aujourd’hui le droit à la bombe atomique, cela était inévitable. Pourtant on a arrêté la marche de l’Iran vers la bombe atomique.

Il faut prendre en compte que l’Iran est un pays émergent. Bernard Hourcade nous a dit que c’est un pays qui a « tout raté » depuis 200 ans. L’Iran a passé à côté de la révolution industrielle. De plus, au temps de la colonisation il n’a pas était colonisé parce-que on estimait que ça ne « valait pas la peine ». Cela veut dire que l’Iran n’a pas pu bénéficier des avantages de la colonisation. Aussi, une mondialisation arrive aujourd’hui mais l’Iran est sous un embargo.

Mais il faut aussi prendre des autres facteurs en compte. L’Iran est un pays qui a des ambitions importantes comme le nucléaire, tous les iraniens y sont favorables. Ensuite Bernard Hourcade a parlé de différentes catégories de pays ; Les pays émergés, Les nouveaux acteurs de la mondialisation qui étaient colonisés et les pays ambitieux mais qui manquent des moyens pour arriver a la prolifération nucléaire. Dans les pays émergés on retrouve principalement des grandes nations industrielles. L’Allemagne, l’Argentine, le Canada, la Corée du sud, l’Espagne, les Etats-Unis, la France, l’Italie, le Japon, la Pologne et le Royaume-Uni font tous partie de ce groupe. Ces pays sont tous intégrés dans l’économie mondiale donc, si ils souhaitaient avoir la bombe atomique ça ne serai pas un problème de rapidement l’avoir. Dans le deuxième groupe on retrouve plus ou moins tous les pays d’Amérique latine, l’Australie et la Belgique (parmi d’autres). Ce sont des pays qui ont tous les moyens de développer une industrie. Dans les pays ambitieux mais qui manquent de moyens on trouve des pays comme la Turquie, l’Irlande et le Cuba. Donc Bernard Hourcard a constaté qu’une cinquantaine de pays ont une certaine légitimité à être dans la « cour des grands » mais cela n’est pas suffisant. On commence à se demander si c’est la richesse qu’ils doivent posséder pour pouvoir avoir l’arme nucléaire.

Bernard Hourcade a continué sa présentation par dire que même si la population iranienne est importante, le pays a beaucoup de mal à s’intégrer sur la scène international. Ensuite il a parlé du rôle que l’éducation et les sciences avaient dans les ambitions de prolifération. Il a parlé un peu de l’éducation dans le pays et il nous a dit que quand la bourgeoisie moyenne économique a prit le pouvoir il y a eu une explosion du nombre d’étudiants. Il nous a montré un graphique pour mieux pouvoir expliquer l’évolution de l’éducation en Iran. A partir de ce graphique, on pouvait voit que en 1970 il y a très peu d’étudiants mais qu’avec le temps le nombre d’étudiants n’a pas cesser d’augmenter. Les femmes on le droit d’aller à l’université dès 1981. Donc il y a un développement de l’accès à l’université énorme. Avec cette évolution se développe l’ambition des iraniens de participer au monde. Ils se rendent compte qu’ils on un potentiel gigantesque de connaissance qui leur donnent la capacité de prendre puissance dans le monde et d’être présents sur la scène internationale. Les iraniens ont une dynamique intellectuelle très importante, cette société à envie d’avancer. Ce que j’ai trouvé intéressant c’est que Bernard Hourcade nous a dit que les Etats-Unis étaient le premier pays à donner des bourses universitaires aux iraniens.

Pour suivre Bernard Hourcade a parlé de l’Iran en tant que pays émergent modèle. Il a commencé cette partie de sa présentation en nous disant que l’Iran est un pays qui a de l’argent, une industrie et des capitaux mais qu’il n’a aucune culture industrielle ou internationale. Donc il y a en faite une limite des capacités iraniennes. De plus, il nous a dit que l’Iran manque la capacité idéologique pour faire une bombe atomique. Il a aussi dit que l’Iran est isolé comme état et que cela serait un obstacle à la prolifération nucléaire du pays. Un autre élément important qu’il faut absolument ne pas oublier c’est qu’il y a aussi des rapports de force à l’intérieur de l’Iran. Donc pour conclure ce pays a un potentiel important mais il est actuellement loin de pouvoir assurer la prolifération nucléaire.

Bernard Hourcade a quand même dit à la fin de sa présentation qu’on devait agir avec précaution en ce qui concerne la demande de prolifération de l’Iran. Il ne faut pas oublier que c’est un pays indispensable à la stabilité au moyen orient et que cet état peut être un facteur permanent de troubles. Donc comme l’a dit Bernard Hourcade ; « à force de tout bloquer on risque de tout lâcher »

J’ai bien aimé cette conférence qui portait sur un sujet très important. Le conférencier a très bien fait sa présentation et il parlait avec conviction. De plus j’étais assise au premier rang ce qui m’a permis de mieux apprécier.

Lucie Gallagher.

La littérature contemporaine au Japon

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Samedi 4 octobre, 15 h à 16 h – Centre Robert-Schuman, salle de conférences

« La littérature contemporaine au Japon » Philippe Picquier et Philippe Valet

Je n’avais pas planifiée d’aller à cette conférence mais je me trouvais au salon du livre quand elle a commencé donc je suis allée jeter un coup d’œil. Pendant cette conférence ils ont parlés des livres modernes japonais et de grands auteurs japonais. Ils on parlé du rôle que la littérature joué dans la vie quotidienne japonaise. Ils ont aussi parlé de l’influence de la bombe de Hiroshima et de Nagasaki sur le moral de la population japonaise et donc l’effet que cela avait eu sur la littérature japonaise. On a aussi dit qu’on voyait de plus en plus de livres écrits par des femmes au Japon. Ils ont aussi parlé de la traduction d’un livre japonais en français et on expliqué la difficulté que les éditeurs avaient parfois à choisir quels livres traduire. Ils ont parlés plus en détail de certains livres et ont cités quelques titres. Un des conférenciers a dit que dans leurs livre les auteurs essayaient de « trouver le bonheur dans ce qu’on est obligé de faire », j’ai trouvé cela très beau. Cette conférence m’a donné envie de lire un livre d’un auteur japonais donc en sortant j’ai achetée une collection de trois petits histoires (La Piscine, Les Abeilles, La Grossesse) de Yoko Ogawa. J’ai lue « La Piscine » et « Les Abeilles » mais malheureusement j’ai perdu le livre avant de le finir. J’ai beaucoup aimée lire ce livre même si les sujets étaient parfois un peu étranges.

Lucie Gallagher.

Faut-il tenir pour une frontière la « ligne verte » qui partage l’île entre Chypriotes et la Turquie ?

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Samedi 4 octobre, 9 h à 10 h – INSIC, amphithéâtre

« Faut-il tenir pour une frontière la « ligne verte » qui partage l’île entre Chypriotes et la Turquie ? » Pierre-Yves Péchoux

Quand on parle de la « ligne verte » il s’agit de la séparation entre les Chypriotes grecs et les Chypriotes turques. Cette séparation s’appelle la « ligne verte » parce-que les anglais ont utilisés un crayon de couleur verte quand ils ont tracés la séparation sur la carte. Cette séparation remonte jusqu’à 1974 et on essaye de trouver une solution depuis 36 ans. Chypre est une île qui compte un million d’habitants et qui fait 10 000 kilomètres carrés. Le problème de la ligne verte est un problème qui peut nous intéresser directement car Chypre est un membre de l’UE. Cela veut dire qu’il s’agit d’un conflit à l’intérieur de l’UE. Le 3 septembre 2008 des discussions sérieuses on reprit entre représentants. En février 2008 il y a eu un changement de président. Toute l’île est partagé ce qui pose un désordre très important.

En premier lieu c’était un coup d’état contre le régime républicain ce qui provoque une invasion militaire de la part du gouvernement turque qui aboutit à la séparation. En conséquence les Chypriotes grecs vont au sud de l’île (un tiers de la population se déplace dans une semaine) et les turques vont au nord de l’île car ils ne voulaient pas rester parmi les grecs. Depuis cet événement il n’y a plus de contact entre les groupes de population séparés par la ligne verte. Les deux populations entrent très peu en contact. Cela est inquiétant car ils deviennent de plus en plus étrangers les uns des autres.

L’île se situe dans la méditerranée orientale. Les deux principaux voisins et acteurs de la difficulté chypriote sont la Grèce et la Turquie. Ensuite Pierre-Yves Péchoux a un peu parlé de la chronologie du problème chypriote. En 1960 l’île devient indépendante après des négociations délicates. En 1973 une crise constitutionnelle débouche sur une guerre civile. En mars de 1974 l’ONU envoi les casques bleus pour séparer les deux camps. En 1974 il y a le coup d’état qui est suivi par l’invasion de l’armée turque. Puis en 1983 les turques décident de se constituer un territoire séparé, c’est la République Turque de Chypre. Kofi Annan avait envisagé une réunification mais cela était un échec donc les négociations viennent juste de redémarrer

Les grécophones son de loin les plus nombreux sur l’île, le grec est vraiment la langue d’usage. Il y a aussi des différences de religion entre les deux populations. Les uns sont chrétiens et les autres appartiennent à l’Islam.

Pierre-Yves Péchoux a aussi parlé de la zone tampon administré par les officiers de la force de l’ONU. Dans cette zone on trouve principalement des chypriotes grecs. Cette zone est administrée par l’ONU pour éviter les tensions à l’intérieur de cette zone. Cette zone est définit par les lignes de cesser le feu. Après avoir tracé la ligne on se rend compte que les adversaires se trouvaient parfois à plusieurs kilomètres les uns des autres. Donc, la zone tampon est une zone qui appartient ni à l’un ni à l’autre. Cette zone est praticable et parcourable mais il reste des mines que l’ONU essaye de supprimer. Le conférencier nous a vraiment montré qu’il s’est développé une philosophie d’exclusion et d’ignorance de l’autre entre les deux populations. En fait, le village de Pyla est le seul village mixte qui subsiste.

Cette conférence m’a beaucoup plu parce-que c’est un sujet qui pourrait nous être utile pour le programme de septième comme on se concentre sur l’UE. De plus, je pense que Pierre-Yves Péchoux a vraiment bien présenté son sujet. Ce que j’ai beaucoup aimé c’est qu’il a utilisés plusieurs cartes et photographies comme appui qui m’a permis de bien visualisé la séparation et l’évolution au fil des années. Pourtant, c’est dommage mais j’ai manquée la fin de la conférence parce-que j’ai du partir avant la fin.

Lucie Gallagher.

La conquête du monde par Toyota

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Dimanche 5 octobre 10 h 15 à 11 h 15 – Maison de la solidarité Robert-Bernard

« La conquête du monde par Toyota » Yves Boquet

Le Japon est le premier pays mondial pour l’industrie automobile. Toyota est la première entreprise japonaise. Dans cette conférence Yves Boquet a parlé de la puissance de l’industrie automobile japonaise, le cas de Toyota et son expansion internationale.

En 2008 le Japon est le premier producteur mondial (les Etats-Unis se trouvent en deuxième place et la Chine et troisième). Toyota constitue le groupe automobile le plus rentable au monde. 35 millions de Toyota Corolla ont étés vendues. Dans un tableau qui montre le commerce de l’automobile en 2005 on voit que le Japon est le premier exportateur mondial et les Etats-Unis le premier importateur de voitures. Donc dans le solde du commerce automobile c’est le Japon qui est en tête. Pourtant l’industrie automobile japonaise est une industrie qui est récente. Au début des années 50 la production automobile japonaise était quasi nulle.

Aujourd’hui on a atteint la production de voiture maximum, le marché de l’automobile japonais ne progresse plus. Le taux de motorisation au Japon est de 600 véhicules/ 1000 habitants (comme en Europe). Le taux de motorisation aux Etats-Unis est de 800 véhicules/ 1000 habitants. Le taux de motorisation japonais ne progressera plus comme il y a une diminution de population. Il y a eu une progression vigoureuse des exportations japonaises d’automobile dans les années 2000. L’industrie automobile japonaise repose sur la production de voiture à destinés à l’étranger. Il y a un grand déséquilibre des exportations par rapport aux importations.

Ensuite Yves Boquet a parlé du cas de Toyota. Toyota est (avec Honda) le leader le l’innovation dans l’automobile. Cette entreprise est dirigée par une famille, c’est la famille de Sakichi Toyoda (1867–1930). La direction de l’entreprise passe de père en fils jusqu’en 1999. Géographiquement cette entreprise se trouve à proximité de Nagoya. Elle se trouve dans la ville qui s’appelle maintenant « Toyota city » (cette ville s’appelait Koromo auparavant). La première usine construite s’appelle Honsha. Depuis on a multiplié les usines toutes dans la même ville, à quelques kilomètres les unes des autres.

L’usine Tsutsumi est l’usine qui produit le pus de Toyotas au monde. Elle est implantée plus ou moins au milieu des rizières. Tout autour de l’atelier on a des usines de sous-traitance pour Toyota. Ces usines de sous-traitance créent des pièces séparées pour Toyota, donc l’usine Tsutsumi est une usine d’assemblage.

Ensuite le conférencier a parlé du Toyotisme. Le Toyotisme est un système qui permet de produire beaucoup et d’assurer la flexibilité de production. La production se fait par lignes de fabrication qui permet d’avoir des produits finis très variés. Chez Toyota on fabrique une voiture pour le client. De plus on pratique une production modulaire permet de diversifier le produit fini. Pour éviter la monotonie les ouvriers ne sont pas fixés à un poste de travail unique, cela augmente donc la productivité de l’entreprise car si un ouvrier est motivé il travail plus vite. Un autre principe du Toyotisme c’est l’alliance entre une entreprise principale et un vaste réseau d’équipementiers et de sous-traitants. De plus Toyota pratique le « juste-à-temps », c’est la politique des flux tendus qui permet de réduire les stocks et donc de réduire les coûts. Pour réduire les stocks la fabrication se fait en fonction des commandes enregistrées. La proximité géographique des équipementiers et des assembleurs permet également de réduire les coûts en réduisant les stocks. Aussi on essaye d’améliorer constamment le produit. Toutes ces méthodes de production permet une très grande flexibilité de production ce qui rend l’entreprise très compétitive. Toutes ces façons de travailler se résument dans les 5 zéros de Toyota ; zéro-stock, zéro-panne, zéro-défaut, zéro-délai et zéro-papier. Le port Nagoya est un port majeur pour Toyota. Toute une partie du port est consacrée à l’exportation automobile.

La part que les Etats-Unis possèdent dans la production mondiale des voitures est de moins de 20%. Il y a une progression des ventes de Toyota sur tous les marchés sauf le marché japonais. Le marché japonais a tendance à se tasser. La production de Toyota à l’étranger augmente rapidement (notamment en Amérique du Nord, Asie et en Europe). Le marché des Etats-Unis est un marché privilégié pour le Japon. On fabrique maintenant beaucoup de voitures Toyota en Amérique du Nord. Les chocs pétroliers on eu un impact majeur sur la population américaine. A la suite de ces chocs la demande de voiture de petite dimension augmente. De plus il y a une crise de confiance envers la qualité des voitures américaines à la suite de procès qu’il y a eu dans les années 60. En 1979 la grande entreprise automobile américaine « Chrysler » est au bord de la faillite. Toyota construit ensuite des entreprises en Amérique du nord à proximité d’autoroutes (on les appelle les « Just in time highways). Toyota prend de plus en plus du marché à General Motors et à Ford, les deux grandes sociétés automobiles américaines. C’est l’américanisation de Toyota.

La plus grande entreprise de Toyota hors du Japon se situe à Kentucky. Cela veut dire que le Japon a crée de l’empli au Etats-Unis. Toyota a complètement transformé cet espace. Il y a également deux usines Toyota au Canada, trois en Thaïlande, une en Russie, une dans la république Tchèque et une au Mexique. Toyota est présent presque sur tous les continents. Maintenant, seulement la moitié des voitures Toyota sont fabriquées au Japon.

Cette conférence était la dernière de mon « séjours » et je pense que c’était une de mes préférées. L’industrie automobile japonaise est une sujet qui m’intéresse beaucoup parce-que en économie on a travaillé sur le Toyotisme pendant un petit temps alors j’étais contente d’en savoir plus. Je pense aussi que le conférencier était très bien et il a montré beaucoup de graphiques et de photographies qui m’a permit de mieux comprendre.

Lucie Gallagher.

La Chine dans la Mondialisation

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Samedi 4 octobre, 16 h 45 à 17 h 45 – Lycée Jules-Ferry, amphithéâtre

Parcours pédagogique. Conférence « La Chine dans la mondialisation » Thierry Sanjuan

Thierry Sanjuan nous a dit que c’était important de comprendre la Chine dans son changement et par la continuité. Tout change dans ce pays ; en termes économiques, en ce qui concerne le territoire et même les classes sociales changent. Ce pays est un pays qui est entrain de changer notre équilibre pas sa masse, son nombre et son taux d’inégalités sociales et régionales. De plus la Chine contribue largement à la dégradation de l’environnement. Thierry Sanjuan a dit qui la Chine est contrainte à la croissance de son commerce extérieur et à sa croissance économique. Comme Thierry Sanjuan a remarqué la Chine se pose aussi des défis.

Il nous a aussi dit que suite à l’ouverture économique de la Chine les investissements (notamment les IDE) n’étaient pas très importants. C’est seulement vraiment 14 ans plus tard qu’on voit que les investissements son plus directs, il y a une diversification des pôles investissant en Chine (Europe, Russie, Inde, Asie du sud, Japon, Corée du sud). Il est aussi intéressant de remarquer que ces investissements passent aussi de plus en plus par des paradis fiscaux.

Thierry Sanjuan a ensuite parlé des territoires de la Chine dans la mondialisation. Il nous a dit que les provinces littorales et les provinces intermédiaires sont relativement attachées à la mondialisation. Il nous a aussi dit que la province de Jiang Su est la province la plus riche de Chine. Shanghai, est devenu une ville mondiale. Un gigantesque port a été construit au sud-ouest de la municipalité, cela est la réalisation d’un grand ouvrage pour la Chine. A Shanghai se trouve la tour de la télévision qui est, selon Thierry Sanjuan, le symbole de la Chine. De plus Shanghai s’est beaucoup modernisé et urbanisé, on y trouve maintenant des grandes tours et de nombreux buildings. Puis il a parlé de Kunshan qui est connue comme étant une zone ou les IDE (notamment Taïwanais) sont importants. Les lignes de métro qui permet à relier deux lieux se multiplient aujourd’hui en Chine. Pour terminer Thierry Sanjuan a dit que la Chine dispose d’un espace très important ou elle peut redistribuer les unités de production, les zones de populations et les infrastructures.

Cette conférence était assez intéressante mais ce n’était pas ma conférence préférée. Je n’avais pas réalisé auparavant mais c’était en faite un « parcours pédagogique » ce que je n’ai pas trop aimé. De plus j’avais un peu l’impression que le conférencier n’a pas beaucoup dit de concret.

Lucie Gallagher.

dimanche 12 octobre 2008

Conférence «Le conflit afghan : un produit de la géopolitique historique»

Samedi, 4 octobre 2008

Conférence «Le conflit afghan : un produit de la géopolitique historique»
par Pierre Gentelle


Cette conférence a été la dernière conférence de ma journée, c’est-à-dire qu’elle a eu lieu vers 18h00. Avant celle-ci, j’ai assistée à deux autres, toutes dans la même salle. Donc, j’étais déjà un peu fatiguée et je n’ai pas pris autant de notes que pour les autres. Cependant, la conférence elle-même a été très intéressante et j’ai beaucoup appris. Elle m’a notamment fait penser à un exposé sur l’Afghanistan que quelqu’un avait présenté en cinquième année.

Le conférencier a commencé sa conférence d’une façon qui a attiré mon attention. Selon lui, dans le monde, il n’y a que des prédateurs et des proies. Bien sûr, il y a quelques nuances à cela et il peut y avoir des renversements.
L’Afghanistan est un pays proie rêvé et l’a toujours été, au long de son histoire. Malgré cela, toutes les proies ont des défenses, qu’elles le sachent ou pas, qu’elles l’utilisent ou pas (même si il est très difficile de changer de statut, surtout quand il s’agit de passer de proie à prédateur).

L’Afghanistan est un pays sous développé et enclavé. Il est, par exemple, le seul état au monde qui ne possède pas de chemins de fer. C’est une proie de façon durable.
Ayant donné quelques repères historiques pour que l’audience comprenne le contexte et la situation du pays, Pierre Gentelle a surtout parlé des conséquences de la présence américaine en sol afghan. Tout d’abord, il a rappelé les raisons de cette occupation et le changement de stratégie militaire américaine (qui a adopté une théorie qui doit régler les problèmes locaux). Il a également dit que les américains n’avaient aucun avantage à attraper Ben Laden ; pour eux, il est même beaucoup plus utile vivant que mort, car cela leur donne une raison d’être en Afghanistan et une certaine légitimité.

Au moins 92% de l’opium mondial vient de l’Afghanistan dominé par les Etats-Unis. Il paraît même, qu’il n’y ait jamais eu autant de pavot dans le pays qu’en ce moment. Il faut savoir que le pavot est plus cher et que la production d’opium finance les talibans. Donc, les agriculteurs afghans sont menacés et toujours en danger. Il est difficile de convaincre ces populations de changer leur production agricole car ils ne sont pas suffisamment protégés par l’armée américaine. Actuellement, les Etats-Unis pensent qu’il est important de protéger la population. Pour cela, il faudrait une présence militaire nocturne dans les villages.

Selon le conférencier, il faut créer un gouvernement crédible. Il faut également que les militaires sortent d’avantage des bases militaires et prennent plus de risques auprès des populations. L’arrêt des bombardements est aussi une nécessité, puisqu’il faut conquérir ces personnes et non pas les écraser. Par exemple, si un jeune afghan voit une bombe américaine tuer sa famille, il y a de grandes chances qu’il se range du côté des talibans. Dans un pays où il n’y a même pas confiance en l’aide humanitaire, les tensions entre les locaux et les « occupants » deviennent de plus en plus visibles.
Joana Barreto

lundi 6 octobre 2008

"La Chine, géopolitique d une puissance asiatique" par Thierry Sanjuan

Samedi, 4 octobre 2008

La Chine, géopolitique d une puissance asiatique par Thierry Sanjuan

La Chine est une puissance émergente économique et de plus en plus géopolitique. Cependant, elle n’avait pas un rôle important sur la scène mondiale il y a trente ans. En 1960, ses liens avec l’URSS ont été rompus et le pays n’existait pas pour l’ONU. La Chine était fermée sur elle-même.
Apres la reconnaissance des différents pays, son entrée dans le Conseil de Sécurité et les réformes économiques dans certaines régions du pays, la Chine a commence a s’intégrer. Toutefois, son ouverture a été géographiquement choisie et sectorialisée.


La Chine est devenue une puissance mondiale, mais surtout une puissance régionale.
Tout d’abord, il s’agit d’une immensité territoriale (9 km quarres), au cœur de l’Asie. C’est aussi un état qui a exporte et désire diffuser les valeurs chinoises (au Japon, au Vietnam et en Corée). La culture de la Chine fait d’elle une centralité emblématique, possédant une énorme diversité.
Il est surtout important de retenir le fait que, au fil des années, le nationalisme s’est beaucoup développé pour des raisons historiques et que le pays veut rentrer dans la cour des grands. D'ailleurs, le gouvernement utilise souvent son immensité et ses rancœurs à son profit, en faisant paraître le Parti Communiste comme le sauveur de la Nation.


Dans les années 1970, Ping a affirmé que la puissance ne pouvait être redonnée à la Chine que par le développement économique. En 1992, il a eu la construction d’une économie socialiste de marche (qui a permit la délocalisation de beaucoup d’entreprises étrangères vers la Chine) et, en 2001, le pays a fait son entrée a l’OMC.

Les valeurs chinoises se veulent universelles Ainsi, le pays s'est exposé lors des Jeux Olympiques 2008 de Pékin et le fera également lors la future Exposition Universelle de 2010 à Shanghai.
La Chine a une conception auto-centrée, qui ressent toujours le deuil de la primauté impériale et s’est réapproprié des chinois à l’étranger (notamment par les medias).
Aujourd’hui, on voit apparaître une nouvelle interdépendance entre la Chine et le monde. Ce pays a un poids de plus en plus important dans les institutions et les équilibres mondiaux (comme l’OMC) et nécessite de besoins énergétiques croissants. C’est un pays contraint à devenir une puissance mondiale.

J’ai bien aimé cette conférence. Je l’ai trouvée très intéressante et accessible. J’avais déjà quelques connaissances sur la Chine et la conférence m’a éclairée sur certains sujets.



Joana Barreto

Saint-die (the last shots)









Les débris des yeux que la guerre éclate




















L'esprit qui brûle cristallisé

















Adieu Saint-Die-des-Vosges

Reste la mémoire pour te changer














La Symétrie,



l'utopie d'un futurisme.




















Eh oui...la pelouse illégale pousse sous le nez de la loi...





Antonio Ferraz

Etats-Unis, le gendarme du Monde?

Cette conference de debat avez pour participants Saida Bedar, chercheuse au CAPRI et le General Christian Delanghe. Le premier a intervenir fut Madame Bedar qui fut pour ne pas trop dire confuse et peu claire dans son expression. Puis le General pris la parole et commenca par parler de quelques unes de ses experiences et de son metier actuel. C'etait, pour moi la derniere conference, dans le temps et dans la qualite.

Antonio Ferraz

Parcours Geographique du Gout










Le Japon...







Compte Rendu de Lucie sur l`OTAN

Puisque Lucie n`est pas inscrite sur ce blog, je le publierai pour elle.

Vendredi 3 octobre – 15h15 a 16h15 – INSIC, amphithéâtre

Conférence : « l’OTAN, acteur géostratégique’ par André Dumoulin

André Dumoulin a commencé cette conférence par décrire un peu ce qu’est l’OTAN et son rôle dans le monde. Il a dit que l’OTAN est une alliance liée à la gestion défensive. L’OTAN est une construction souple de coalition militaire, elle peut aussi être utilisée comme outil de pression. C’est aussi un instrument qui permet aux Etats-Unis de ne pas « jouer seul ». De plus, il nous a dit que l’OTAN n’était pas une structure autonome, chaque opération de l’OTAN dépend de la volonté de ses membres d’y participer financièrement. Il a aussi insisté sur le fait que l’OTAN est une organisation extrêmement réactive. André Dumoulin nous a dit qu’il y avait eu deux reformes importantes de l’OTAN une a la fin de la guerre froide et une autre au lendemain de l’attentat terroriste du 11 septembre.

La prochaine partie de la conférence était consacrée au Sommet de Riga qui a eu lieu en novembre 2006. Il a parlé des débats qui ont eu lieu lors de ce sommet. Au sommet de Riga on a discuté de l’avenir de l’OTAN et de l’extension possible de l’OTAN aux activités humanitaires. On se demande si l’OTAN doit rester uniquement dans la sphère militaire. Il y a aussi eu des débats sur le partage des taches et des missions. Lors de ce sommet certaines questions ont étés résolus, d’autres pas. On se rend compte qu’il y a un blocage et une rivalité entre certains pays. Il y a aussi des oppositions entre les états membres sur l’avenir même de l’organisation. Le conférencier a ensuite posé la question rhétorique ; « est-ce que on peut envisager une reforme de l’OTAN ? ». Comme réponse il a dit qu’on en sait rien et que l’année 2009 sera une année très importante pour l’avenir de l’OTAN.

André Dumoulin a aussi parlé du sommet de Bucarest de 2008. Lors de cette réunion on a parlé de l’adhésion de l’Ukraine et de la Georgie. Mais l’OTAN a bloqué ces négociations a cause de la géopolitique de ces pays. Il a expliqué que cette adhésion est une menace aux intérêts frontaliers et géopolitiques de la Russie.

J’ai trouvée cette conférence pas mal. Mais comme je suis arrivée en retard j’ai loupée le début et j’étais assise très loin du conférencier. De plus le micro ne fonctionnait pas donc c’était très difficile de suivre la conférence et je n’avais pas vraiment l’impression que sa présentation était très structurée. Mais j’ai quand même trouvée le sujet très intéressant et je pense qui si j’avais mieux entendu la conférence m’aurais beaucoup plue.

Lucie Gallagher.

Le the...











Et on travaille...
















''Les Farcs, colonisation, coca et politique'' par Daniel Pecaut

Le conferencier etait M.Daniel Pecaut, Directeur d'Etudes a l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. M.Pecaut commenca la conference par s'excuser de ne pas avoir de diapositfs a presenter mais il pria l'audience de observer la carte physique de la Colombie qu'il avait affiche au fond de la salle. Puis il fit une petite introduction a la geographie physique de Colombie, et les divisions qu'elle creeaient. Pour mieux comprendre la situation M.Pecaut nous explica les evenements historiques qui avaient forme et transforme les Farcs jusqu'a present. Il nous expliqua le financement de la Farc, leur nombre d'hommes, les territoires qu'ils tenaient et la leur avantages territorialles comme guerillas. Le directeur d'etudes continua par expliquer les difficultes du gouvernement colombien pour lutter contre les Farcs et leur techniques terroriste, comme par exemple les enlevements. Malheuresement on a du partir avant la fin puisque il etait l'heure de diner. Mais meme si elle manquait de cartes et etait parfois un peu difficile a suivre par sa densite cette conference fut tres interresante et enrichissante pour tous.

Antonio Ferraz

"Des bobos ou des bébés, la gentrification du front de mer tokyote"

Présentation le Vendredi 3 Octobre par Remi Scoccimarro

Dans cette conférence le présentateur expliquait le nouveau phénomène sur les îles artificielles dans la baie de Tokyo.
Sur ces îles, qui se trouvent au milieu du port de Tokyo, qui est d’ailleurs un des plus grands et actives du monde, il y a eu beaucoup de changements dans les dernières années.
Avant des pauvres classes vivaient dans ces espaces. Maintenant plus en plus de couples jeunes avec 1 à 2 enfants viennent y vivre. Il s’agit de familles ou dans la plus parts les deux parents on un revenu. Ils vivent dans des maisons de plusieurs étages. A cause de la présence de ces jeunes familles, autour de ces immeubles, des centres de loisirs ou de shopping se créent. On y trouve des restaurants et cinéma.
Qu’est-ce que moi j’ai trouve intéressant, c’est le fait que sur ces îles il y a un taux de croissance assez élevé. C’est une différence au taux basse dans le reste du pays qui entraîne un vieillissement de la population japonaise.

Cette présentation m’a intéressé parce que je ne savait rien sur ce phénomène nouveaux. Remi Scoccimarro a bien présenté et sa présentation PowerPoint était bien faite. Spécialement parce qu’il y avait beaucoup de cartes et de photos.

La Geographie d'un art martial: le karate

Cette conference fut la premiere a laquelle j'ai assiste au FIG 2008. Le conferencier etait un professeur de karate, M.Jean-Claude Schillot, sixieme dan. Premierement M.Schillot fit une liste des quatre grands territoires du karate: l'Inde, la Chine, Okinawa et le Japon. Le professeur de karate parla a la fois de l'histoire du karate dans chacun de ces espaces. Okinawa et le Japon furent les deux pays avec plus de details puisque ils etaient l'espace ou Funakochi Gichin, le premier maitre du karate moderne a vecu. En bref cette conference fut tres interresante meme si elle penchait plus pour une conference d'histoire que pour une de geographie.

Antonio Ferraz

Les regions polaires:enjeu de guerre ou de paix ?

Cette conference fut presentee par M. Gerard Mottet, professeur emerite a l'universite de Lyon. Dans la premiere partie de cette intervention M.Mottet parla du pole sud, c'est-a-dire l'Antarctique. Le conferencier passa 20 minutes en expliquant avec eloquence le glorieux passe des navigateurs francais qui justifier le fait que la France aie le droit a avoir une partie de territoire antarctique. Puis il referencia la poesie de la Pax scientifica entre tous en antarctique et la beaute du nom de la base Franco-Italienne: Concordia. En une phrase discrete le professeur declara qu'il y avait quelques pays qui voulaient aussi une partie du territoire du pole sud mais que ce n'etait pas tres important. Puis il passa au pole nord, l'Arctique. Puis je n'ecoutais plus ses mots...j'etais dehors, dans les cheveux du vent, libre...pour aller a une autre conference.

Antonio Ferraz

Samedi, 4 octobre.

Danse traditionnelle Japonaise :
Le spectacle s’est déroulé dans le jardin d’une cathédrale par Wakasaburou Hanayagi. Je n’avais aucune idée de ce que ça pourrait être. En premier un homme japonais nous a expliqué sa biographie, etc. La danse fut performée par un dame japonaise toute seule sur un petit plateforme à l’abri de la pluie. Sa figure était couverte d’une poudre blanche, et elle était vêtue dans des vêtements de danse traditionnels japonais ; une robe rouge décoré de symboles incompréhensibles. Une musique avec des chants japonais l’accompagnait lors qu’elle dansait. La danse a durée plus ou moins 15 minutes. Elle était constituée de mouvements très lents et calmes, et on aurait dit qu’elle nous bénissait avec des symboles qu’elle faisait avec ses mains, mais pour nous ça ne voulait rien dire. Bref, c’était intéressant à regarder mais ça aurait aidé si on savait ce que la danse signifiait ou ce qu’était le but de la danse. Elle paraissait d’être ravis d’elle-même quand elle finit sa danse et que tout le monde l’applaudisse – elle a même souri.

Kieran

Samedi, 4 octobre 2008

Samedi, 4 octobre 2008

Ceremonie de the infuse,
Par Michio Nebashima president de l’assiociation Sengetsu kai de l’ecole de Shotu.

La personne qui a presenter la ceremonie n’est pas d’origine japonaise contrairement aux autres participants. Elle a presente la degustation d’une maniere complete et interessante. En plus elle a pris le temps pour repondre aux questions avec patience. Elle a egalement insiste sur l’histoire du the en indiquant que la tradition du the est une tradition tres ancienne.
La dame nous a explique aussi que les japonais utilisent ce rituel frequemment, et elle a specifie que parfois ils faisaient de cette passion leur travail, comme par exemple le beau frere de Michio Nebashima qu’ils est herboriste specialiste en infusion de the.

La demonstration nous a ete presentee sous forme de rituel impressionant. Les invites venus du japon, plus precisement de Hida Takayama etaient professionels et ont rigureusement respecte la tradition et le protocole. Par exemple ils nous ont chaque fois salue apres avoir servi le the. En plus ils etaient vetus avec des kimonos egalement traditionels.
Pour preparer le the le directeur du plus haut niveau, monisieur Michio Nabeshima a utlissr un Laque Shunkei, c'est a dire une surface sur la quelle il a des objets en bois teint en jaune ou rouge,et recouvert laque.

Le the etait bon mais le gout etait pour nous special et nous a rappele les algues. C’etait tres bien qu’ils ont servit du the au public une deuxieme fois . Il y avait meme deux biscuits pour intensifier l’arome après avoir bu le the qui etait servi dans des tasses anciennes et traditiomnelles d'une valeur de 1000 euro.

Cette ceremonie du the nous a permis d’etablir une relation directe entre le FIG et la culture du Japon qui etait un de nos buts principaux pendant le FIG.

Amerigo et Oliver

dimanche 5 octobre 2008

Mon Examen

Petite nouvelle venant de Bruxlles: Hier matin j'ai pris mon examen comme prévu. Les questions sur l'examen devenaient progessivement de plus en plus dificil au long de l'examen. Ceci-dit, l'examen était assez long, je suis arrivé au centre du test a 7:45, le test a commencé a 8:30 et je suis parti a 13:30. Une chose qui ma surpris était l'ambience du test, qui n'était pas du tout strèssant.

Samedi, 4 octobre.

Titre : Chant courtois accompagné au koto.
Concert par : Etsuko Chida.

Explication : Le koto, cithare sur table a chevalet mobile qui se joue posée, que Mme Chida a utilise pour nous faire ce concert a ete apporte au Japon a partir de la Chine au 8eme siècle. Etsuko Chida a joue trois longs morceaux. Le premier date du 18eme siècle, le deuxième du 20eme siècle et le dernier du 21eme, ces deux derniers tout en gardant une atmosphère traditionnelle.
Critique : J’ai très apprécié ce concert qui m’a donne une vue très différente de la musique japonaise. Le son, a la fois du koto mais aussi de la voix d’Etsuko Chida, était très beau et la résonance était excellente puisque le concert a eu lieu dans la cathédrale. La petite explication au début a été très claire et facile à comprendre. Satisfaction totale.

Callan.

Les guerres de environnement, existent-elles ou existeront-elles?

Dans cette table ronde a été dirigée par Yvette Veyret, Professeure université Paris 10, Paul Arnould, ENS LHS de Lyon et Philippe Fremeaux. Les premiers pas furent les définitions de l’environnement et de la guerre. L’environnement gagna la signification de tout ce qui nous entoure, incluant l’autre homme et la guerre celle d’un ensemble d’affrontements armes, destructions et morts. Quant a la question qui attendait le débat elle fut vite résolue, puisque M.Arnould affirma que les guerres de sont depuis toujours des guerres d’environnement puisque les guerres se font a cause de la dispute de propriété des ressources naturelles. Après cette conclusion véloce le reste du temps les trois conférenciers ont discutes des exemples de guerres de l’environnement, comme 14-18, les conflits au Darfour ou la guerre au Viêt-Nam. Je ai été vite lasse et je n’ai pas attendu la fin de ce discours. Pour traduire leur mots en une phrase simple je dirai: ‘‘Depuis toujours que les choses furent ainsi, rien ne changera trop, bien évidemment ! Ne nous affolons surtout pas avec des discours exagérés et apocalyptiques, fruits des scénarios du GIEC et des folies d’autres hommes.’’

Antonio Ferraz

Vendredi 3 octobre 2008

Le vendredi commença avec le premier réveil dans ces lits temporairement géographiques. En vitesse se suivi le petit déjeuner, avec tasses d’eau chaude (tcha), de céréales et de tranche de pain trempes en Nutella. D’estomac conforté ont courra aux voitures, poursuivis par le froid matinal et attires par l’augure silencieux d’une bonne journée. Arrives a Saint-Die nous sommes allés (pour la seule fois !) tous a la même conférence, la conférence introductive par Mr.Pelletier ‘’Le Japon est-il fini’’. Cette conférence quoique très attaquée par des hesitations techniques et des bourdonnements du public désintéresse fut passionnante. A 11h15, ainsi que la conférence termina, on s’est tous disperse en petits groupes, chacun cherchant ces intérêts. La plupart de nous on pris le temps de se promener et d’apprécier le salon du livre, des expositions et les quelques moments de soleil. A 12h45 a nouveau réunis on se préparer pour prendre le repas de midi. Mais il eut un petit retard, quelque chose d’assez inédit et historique. Madame Debilly n’arriva pas a l’heure en guise de quelques répliques plus ou moins agréables échangées avec quelques inspecteurs laissees sur son chemin !
Après ce petit imprévu on arriva a la conclusion que on n’arriver a avoir de consensus et que chacun déjeunerai ou il voudrait. Quelques uns prirent des superbes hamburgers d’autres des spécialités nipponnes (savoures mais petites). Après le repas, a 14h chacun retourna a ses oignons (c’est-a-dire ses conférences). Uns furent déçus par des abordages fanco-francais d’autres animes par de sujets brillamment présentés. Jusqu'à 18h il fut rare de ce retrouver a plus de deux, mais étrangement a la dernière conférence du jour on y était casi a totalité. Le thème était ‘’Les Farcs : colonisation,coca et politique’’. La encore viens a la surface la subjectivité des visions puisque entre nous il y avait de tout genres d’opinions sur la qualité de cette intervention. Finalement a 19h arriva le moment de dîner.
Ensemble on se divisa par MacDonald et Buffalo Grill ! Ce dîner, (au moins du cote majoritaire, c'est-à-dire au Buff’ :P) fut la meilleure manière de terminer la journée. Entre conversations et rires on finissa par décider de rentrer au chalet.

Comme ça serait bon de pouvoir terminer ce récit ainsi, dans cette impression de paix et bonheur. Mais le destin sait toujours se contorsionner et la journée n’était pas finie de fait… Aussitôt rentres au chalet on a du rédiger des comptes rendus ! Et oui, en dépit des vêpres du Sabbat il faut quand meme travailler… Les nuits, la Géographie devient un exercice de calligraphie !

Antonio Ferraz